Jacinthe d’eau
Comment s’en débarrasser ?
Troisième partie
Infestation de la jacinthe d’eau peut être contrôlée par le biais de traitements physiques, chimiques ou biologiques.
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Journal d'un baroudeur amoureux de Madagascar |
Troisième partie
Troisième partie
Cet article est extrait du site : Karibo MadaLe vanillier est présent en climat tropical chaud et humide, sous des latitudes comprises entre 25° nord et 25° sud
Le vanillier est présent en climat tropical chaud et humide, sous des latitudes comprises entre 25° nord et 25° sud. La température peut osciller entre 14°C et 38°C pour une moyenne annuelle aux alentours de 20°C et l’altitude ne doit pas dépasser les 1 100 mètres. Les précipitations doivent être soutenues, de l’ordre de 2 000 mm par an. Le sol doit être drainant et riche en matières organiques, l’hygrométrie importante et l’ombrage suffisant pour empêcher le rayonnement direct du soleil sur les feuilles.
Cela fait déjà pas mal de temps que je n’ai plus donné de nouvelles concernant un voyage accessible avec des circuits pour PMR à Madagascar. Je puis vous dire que cela avance, mais « mora-mora » (doucement) : au rythme du pays.!
Lors d’un séjour à Mada en juillet et août 2014, j’ai rencontré tous les prestataires que j’avais
contacté par Internet, et même plus. Je me suis trouvé la plupart du temps en face de personnes très désireuses de s’investir dans le projet.
Pour que ces circuits puissent fonctionner, il faut essentiellement que :
Les visites qui jalonnent ces circuits peuvent pratiquement toutes être proposées aux PMR. Certains sites ne nécessitant que très peu d’aménagements qui se résument le plus souvent à des petites rampes d’accès. D’autres, comme les parcs nationaux ou réserves spéciales qui se parcourent à pied, nécessiteront l’acquisition d’une ou plusieur Joëlette. C’est l’agence réceptive qui devrait ‘occuper de cela en essayant d’intéresser un sponsor, ce qui permettrait de pouvoir également utiliser la Joëlette pour faire découvrir certains parcs à des enfants malgaches handicapés. Aux dernières nouvelles, ce projet de Joëlette avance bien car déjà un sponsor est en train d’en étudier la faisabilité. Continuer la lecture
Les lémuriens du Lemurs’ Park – Eulemur Fulvus Fulvus.
Eulemur fulvus fulvus est un Lemur de taille moyenne, dont le corps est généralement en position horizontale et les déplacements s’effectuent selon un mode quadrupède.
Dans la partie orientale de son aire de répartition Eulemur fulvus fulvus peut être confondu avec Eulemur rubriventer, mais ce dernier a une coloration un peu plus rougeâtre. De même dans les forêts du Nord-Ouest on peut le distinguer d’Eulemur mongoz du fait de sa coloration uniformément brune.
Longueur totale : 84,5 à 101 cm – Tête et corps : 43 à 50 cm – Queue : 41,5 à 51 cm – Poids : 2,0 à 3,0 kg
Les lémuriens du Lemurs’ Park –
Hapalemur griseus griseus
Hapalemur griseus griseus se rencontre dans des forêts tropicales humides primaires ou secondaires, dans lesquelles poussent divers types de bambous et où l’on trouve de grandes étendues de bambous géants.
Hapalemur griseus griseus se rencontre partout dans la ceinture de forêt tropicale humide, de Tolagnaro (au Sud), jusqu’aux régions de Marojejy, Soalala et de la Baie de Baly. Plus à l’Est, on peut également trouver des individus dans la Forêt de Tsiombikibo, près de Mitsinjo. Ces animaux se rencontrent du niveau de la mer jusqu’à des altitudes de 1 800 mètres, ou plus.
Les lémuriens sont incontestablement les animaux les plus célèbres de Madagascar. On les considère comme les ancêtres des singes, plus exactement comme de lointains cousins.
La famille des lémuriens comporte 36 espèces dont la grande majorité ne se trouve que sur l’Ile Rouge.
Deuxième partie : Les Royaumes malgaches.
Une période marquée par l’émergence de petits royaumes, pour le contrôle des terres fertiles, des cours d’eau et des voies de communications de royaumes. Continuer la lecture
Troisième partie : La colonisation et l’indépendance.
Doté des pleins pouvoirs, le général Gallieni, gouverneur de 1896 à 1905, ‘’pacifie’’ d’abord l’Ile avec brutalité (près de 100 000 morts sur une population totale de 2,5 millions d’habitants) et met en place une politique de colonisation dans tous les domaines : Continuer la lecture
Quatrième partie : Les Républiques malgaches.
Philibert Tsiranana
Animée par Tsiranana (réélu en 1965 et en 1972 à une écrasante majorité), la 1ère République instaure un régime présidentiel modéré. Sa politique économique néo-libérale, associant initiative privée, nationale et étrangère, développement coopératif et intervention de l’Etat (sociétés d’économie mixte et d’aménagement du territoire…), permet un essor économique modéré, mais général. La politique étrangère privilégie les rapports diplomatiques et commerciaux avec l’Occident, surtout avec la France omni-présente.
A partir de 1967, l’opposition critique les avantages accordés aux côtiers au détriment des Merina et les accords de coopération de 1960 avec la France. Après la répression en avril 1971 d’une ‘’jacquerie’’ paysanne dans le sud et les grèves estudiantines et ouvrières de 1972, Tsiranana, malade, se retire et laisse le pouvoir au général Ramanantsoa.
A l’ouest, à environ 40 km de Diego, sur le Canal du Mozambique, la baie du Courrier comprend une belle plage. Il nous faut une bonne heure en 4×4 pour nous y rendre, mais nous mettons un peu plus que cela, car nous prenons le temps de nous arrêter à la saline d’Antsahampano exploitée par la Compagnie Salinière de Madagascar située dans le « cul de sac Gallois », une des baies qui constituent la baie de Diego Suarez dont la faible profondeur et l’absence de courant présente des conditions idéales pour l’extraction du sel. En route pour la baie du Courrier, nous passons près du Windsor Castle. Visible à des kilomètres à la ronde, ce promontoire surgi du sol et culminant à 391 mètres possède en son sommet des vestiges d’un fort bâti par les anglais. La marche est rude mais vaut la peine. On a une vue à 360° sur toute la péninsule de Diego, les Baies, de la côte est à la côte ouest.